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3 façons de prendre des notes : 5 défauts majeurs

Vous êtes là, en train de vous préparer pour un examen….vous relisez vos notes et tentez de comprendre ce que vous avez écrit.  Vous essayez de vous souvenir des mots que le professeur a dit ET de les mettre en contexte dans le gribouillis de votre cahier de notes. ARRRGGGHHHH!!!!

Ça ne devrait pas se passer comme ça.  Il y a une meilleure façon de prendre des notes qui vous aidera à comprendre, à vous en souvenir et à retenir l‘information, en particulier lors d’un moment critique comme votre prochain examen!

Saviez-vous qu’il y avait 3 styles traditionnels pour prendre des notes?

  1. La phrase narrative – c’est une façon d’écrire mot pour mot ce que vous entendez.   Écrire ce que vous entendez ligne après ligne aussi rapidement que possible – en fait, vous faites quasiment de la steno – axée sur la saisie des mots sur papier.
  2. La liste – ce qui signifie écrire les informations sous forme de liste numérotée ou avec « bullets», , comme celle que je fais présentement pour les 3 styles traditionnels.
  3. Exposer les grandes lignes – Prendre des notes dans un ordre hiérarchique en utilisant des catégories principales et les sous-catégories.

Dans une structure comme celle-ci :

Saviez-vous que ces 3 types de prises de notes comportent 5 défauts majeurs?

  1. Le manque de repères visuels. Comme vous pouvez le voir dans les styles traditionnels ci-haut, les symboles et le texte sont sous forme linéaire et il n’y a aucun repère visuel, donc aucun modèles, aucune images ou des outils de visualisation. Il s’agit d’une faille critique parce que l’esprit pense en images visuelles et en photos et a besoin de ces éléments pour permettre à la mémoire sélective de se souvenir de l’information le temps venu, i.e. lors de votre prochain examen.
  2. Ennuyant!  Les styles traditionnels de prises de notes sont monotones, ce qui signifie que votre cerveau s’ennuie et reste au neutre! Les notes traditionnelles ont toutes la même apparence, cachent les mots-clés et les titres.  Votre cerveau trouve ça extrêmement difficile de se rappeler ce qui est important de ce qui ne l’est pas.  C’est  pourquoi votre mémoire devient embrouillée et confuse.  La mémoire sait qu’elle détient l’information quelque part mais c’est un peu comme des piles de papier éparpillées sur votre bureau.  Elle ne sait pas où elle est et à quel sujet la relier.
  3. Ça prend beaucoup de temps. Prendre des notes de manière traditionnelle est un gaspillage monumental de temps – si on compare à une alternative plus efficace. Parce qu’elles sont ennuyantes et qu’elles manquent de repères visuels, les notes de cours, prises à « l’ancienne », vous incitent à écrire inutilement. En écrivant plus, votre cerveau doit filtrer des choses qui ne sont pas vraiment nécessaires pour trouver les choses importantes qui seront dans votre examen. Pour améliorer votre mémoire, vous devez lire et relire vos notes plusieurs fois en espérant retenir l’essentiel. Conséquemment, ça devient de plus en plus difficile de faire ressortir ce qui est vraiment important.
  4. Le manque de stimulation créative. La prise de notes traditionnelle ne parvient pas à stimuler le cerveau de façon créative, car elle fait appel principalement à l’hémisphère gauche (logique) pour le rappel de l’information. C’est pourquoi c’est si difficile.  Ne pas être en mesure de permettre aux associations et aux liens de se faire entre les mots clés et les points implique que le cerveau droit créatif reste inactif.
  5. Faux sentiment d’accomplissement. De par sa nature linéaire, la prise de notes traditionnelle vous donne le sentiment de ne pas avoir atteint votre objectif.  L’ensemble vous paraît complet même s’il n’y a pas de liens conceptuels et relationnels entre les points importants.

Comment réagissez-vous maintenant  par rapport à votre façon de prendre des notes ?

Prendre des notes de manière traditionnelle, c’est un peu comme NE PAS prendre de notes..

Il existe une alternative pour surmonter ces problèmes et ses limites – ça s’appelle le Mind Mapping.

Parce que le MindMapping imite le schéma de pensée du cerveau, il utilise la pensée radiale et les motifs visuels en utilisant des couleurs, des lignes, des dessins et des liens relationnels.  En donnant à votre cerveau de nombreux symboles visuels, vous aurez plus de facilité à vous en rappeler quand vous en aurez besoin – et votre prochain test ou examen sera donc facile.

Les MindMaps sont habituellement colorés avec des éléments clés, ces idées et des concepts qui ressortent et qui permettent à votre cerveau de chercher rapidement et efficacement et TROUVER l’information dont vous avez  selon la nature du contexte.

Créer des liens est naturel pour la fonction de stockage du cerveau. Un des avantages du MindMapping, est que ça prend moins de temps et moins de place sur une feuille que de prendre des notes de manière traditionnelle  Habituellement, vous pouvez adapter plusieurs pages ou plusieurs chapitres sur un seul MindMap. Cela vous donne un accès rapide et une vue d’ensemble contrairement à la prise de notes traditionnelle.

Le MindMapping est vraiment à l’opposé de la prise de notes traditionnelles. Au lieu de travailler contre le cerveau, le MindMapping travaille de concert avec le cerveau, vous permettant d’augmenter votre mémoire, la rétention et la compréhension pour vous donner confiance lors des tests et des examens.

Retenez ceci: beaucoup de gens d’affaires admettent utiliser des MindMaps dans l’exercice de leurs fonctions.  Le MindMapping représente pour eux un outil concurrentiel dans leurs activités. Si ça marche pour eux, c’est qu’il y a quelque chose de bon là-dedans!

CLIQUEZ ICI -> Pour metre la main sur le programme “How To MindMap To Get Better Grades Video Program”.

Le MindMapping (carte mentale) pour augmenter vos notes scolaires

Si vous êtes un lecteur assidu de ce blogue, vous savez pertinemment que je suis un grand fan du MindMapping.

Quand j’étais étudiant, j’utilisais beaucoup cette technique pour collecter et rassembler toutes mes notes de cours avant mes tests et mes examens.

Maintenant que je suis en affaires, je continue toujours de l’utiliser pour ma planification stratégique et comme outil visuel pour rencontrer mes objectifs personnels.

J’ai fait équipe avec un artiste fabuleux – Paul Telling – pour créer le programme “How to MindMap to get Better Grades”.  Si vous êtes à l’aise en anglais, vous pourrez en apprendre plus en cliquant sur l’hyperlien.

Si le fait de dessiner à la main vous effraie, vous pouvez utiliser le logiciel Digital Mindmapping, qui le fera pour vous – fonctionne sur Mac et PC.

Croyez-le ou non, le logiciel Digital MindMaping peut vous aider à écrire des essais et des travaux de fin de session plus rapidement que jamais en vous aidant à synthétiser plus de données, de notes et d’information en un seul endroit.  Avec une vue d’ensemble de tout ce que vous voulez dire dans votre travail, vous pourrez vous mettre à l’écriture en faisant seulement quelques changements.

Après tout, le temps est précieux quand on est étudiant – il y a tant d’échéance et jamais assez de temps !

C’est un outil d’étude dont vous ne pouvez vous passez si votre but est d’en faire plus en moins de temps.

Devoirs – Trucs pour les parents

Après de longues heures à l’école, rien de plus naturel que d’avoir envie de rester dehors pour profiter du soleil. La tentation de délaisser les devoirs et les leçons est forte. Comment motiver nos enfants et nos adolescents à ne pas lâcher ?

Les plus jeunes étudiant(e)s

Une routine bien établie contribue à éviter la bataille, souligne Marc-Antoine Tanguay, porte-parole d’Allô Prof. L’enfant sait que c’est le moment de s’y mettre et qu’il n’y échappera pas.

Toutefois, rien n’oblige à faire les devoirs et les leçons assis à la table de la cuisine, ajoute Marielle Potvin, orthopédagogue. On peut les faire debout, s’installer sur la terrasse, lire au parc ou pratiquer la dictée avec des craies sur l’asphalte. « Les enseignants aussi utilisent beaucoup le jeu pour encourager leurs élèves, remarque Marc-Antoine Tanguay. On peut faire les leçons en chanson ou réaliser des exercices sur l’ordinateur. »

Votre enfant a besoin de bouger ? Laissez-le se défouler dehors avant de commencer les devoirs si l’horaire familial le permet. D’ailleurs, une pause entre la fin des classes et la période des devoirs est recommandée. Cependant, même s’il fait clair de plus en plus tard, un enfant du primaire devrait se mettre à la tâche avant 19 h. « Sinon, il sera trop fatigué et ce ne sera pas efficace », prévient Marielle Potvin.

Les étudiant(e)s adolescent(e)s

Quant aux adolescents, ils sont plus autonomes, mais les parents devraient continuer de s’intéresser à ce qu’ils font. Cela démontre l’importance qu’on accorde aux études.

À cet âge, on ne parvient plus à les motiver avec des jeux. « Pour l’adolescent, l’important est d’avoir du pouvoir, alors on doit lui laisser l’impression qu’il en a, estime Marielle Potvin. On peut le laisser décider de ce qu’il veut faire en premier et du moment où il souhaite le faire. » À condition que ça se trouve entre 15 h et 20 h, en semaine, pour éviter qu’il soit trop fatigué pour bien travailler ! Imposer une durée précise, 60 minutes par exemple, pousse aussi le jeune à s’appliquer plutôt que de se dépêcher pour terminer.

Une petite discussion peut aussi être utile. « Il faut leur faire comprendre que leurs études sont importantes s’ils veulent pouvoir choisir leur carrière plus tard », note Marc-Antoine Tanguay.

Oups ! Il n’a pas fait son devoir !

« À partir de la 4e année, le rôle du parent est de superviser, indique Marielle Potvin. Les devoirs et les leçons sont la responsabilité de l’enfant. S’il choisit de bâcler son travail, il doit en subir les conséquences à l’école, tout simplement. »

Quelques ressources

Allô Prof : www.alloprof.qc.ca

Les devoirs et les leçons, par Marie-Claude Béliveau, éditions du CHU Sainte-Justine (pour les parents)

Max et Lili ne font pas leurs devoirs, par Dominique Saint-Mars, éditions Calligram (7 ans et plus)

Réussir, ça s’apprend ! : trucs et conseils d’un étudiant qui réussit, par Étienne Lapointe, Septembre éditeur (12 ans et plus)