De nos jours, le système d’éducation a de moins en moins d’influence sur les enfants. L’infiltration des technologies (Google) et des outils de communication (téléphones intelligents et Facebook) sont en train de détruire les barrières traditionnelles à l’école (discipline) et dans le ‘monde extérieur’. Quand j’allais à l’école, j’étudiais et je “me concentrais”.
Je ne dis pas que les progrès technologiques ne sont pas une bonne chose, seulement que les étudiants sont incapables de les gérer (tout comme leurs parents) et tant qu’un équilibre optimal ne sera pas ré-établi, les étudiants continueront à sous-estimer leurs conséquences.
C’est l’une des générations les plus troublées et malheureusement, ils en subiront les effets pour le restant de leur vie – je sais que c’est un triste pronostic, mais tout comme la guerre et les générations de l’époque de la Grande Dépression, ils l’emporteront avec eux dans leur tombe.
Bien sûr, ça n’a pas que du mauvais – ce n’est tout simplement pas mieux que les générations précédentes.
Le bon côté est qu’une fois que ça passera, et ça arrivera – les choses iront mieux, beaucoup mieux. Mais pas assez rapidement pour ‘cette génération’.
Si on fait une analogie plus «visuelle», on remarque l’augmentation de l’obésité – ses effets sont permanents sur cette cohorte générationnelle – même s’il y en a au sein du groupe qui peuvent devenir en santé et en forme – la plupart ne le seront pas.
Les gouvernements doivent en gérer les effets sur ce groupe générationnel – et non pour chaque individu. C’est pourquoi leurs problèmes sont si compliqués et dans le cas de l’obésité, les effets sont/seronts coûteux (santé).
La grande nouvelle, c’est qu’il y a TOUJOURS DE L’ESPOIR pour cet enfant spécial qui provient d’un environnement fécond et qui pourra renverser la tendance et apprendre les compétences pour y arriver – en dépit de la chance.
De mon côté, je tenterai d’essayer de contrer ces forces du mieux que je peux avec mes étudiants des programmes d’apprentissage accéléré et de lecture rapide – en leur enseignant une approche holistique basée sur les fondements traditionnels des principes du « savoir comment étudier » qui fonctionnent avec les étudiants de tous âges.