Le blogue du jour est basé sur un commentaire très pertinent adressé par Renee…
Je le trouvais suffisamment intéressant et pertinent pour y ajouter des informations et des trucs supplémentaires et de les partager avec vous lorsque viendra le temps pour vous de rédiger votre thèse ou votre travail de fin de session.
Les commentaires de Renée sont en italique…
Votre conseil pour rédiger une thèse est brillant. Vous trouvez un élément d’information que vous savez important pour votre rédaction même si vous n’avez pas encore formulé toute votre démarche et votre approche du sujet. Vous savez que vous devrez ultérieurement introduire cet élément important, l’expliquer et lui donner sa pertinence face à votre sujet, ce qui pour moi est une portion du travail que je déteste faire quand je suis sur une lancée d’écriture. C’est comme un arrêt forcé qui met un frein à mon catharsis et à ma motivation.
L’angoisse de la feuille blanche est le défi le plus difficile à surmonter – en saisissant ces anecdotes, statistiques, faits ou références – ça crée QUELQUE CHOSE sur la page que vous pouvez facilement modifier et embellir. Une page blanche est si angoissante !
Je m’arrête seulement à la fin de chaque section, pour me récompenser, et j’en profite pour penser à comment je vais débuter la prochaine section, ou bien je m’arrête en pleine écriture de quelque chose que j’aime, parce que je continue à composer dans ma tête pour ne pas perdre le fil de mon idée puis je reviens rapidement mettre ça sur papier (ou plutôt à l’ordinateur, disons que cette expression est devenue désuète).
Si je devais arrêter d’écrire en pleine introduction d’un sujet ou en pleine écriture d’un élément de référence, je voudrais éviter d’arrêter et quitter le processus avec un sentiment négatif parce que chaque fois que je reviendrais à l’écriture, je sais que je serais confronté à ce point de départ négatif et à un comportement d’abandon.
Ce problème est commun – ce que je vous suggère vous en débarassera – spécialement si vous lisez la prochaine suggestion ci-dessous sur l’utilisation des “NOTES DE BAS DE PAGE” et “NOTES DE FIN DE DOCUMENT”
J’irais même jusqu’à vous suggérer d’aller à une étape plus loin et de numéroter ces paragraphes de référence déjà écrits, de les sauvegarder dans un fichier séparé et de les imprimer. Gardez-les à côté de vous lorsque vous écrivez et mettez juste le # dans l’endroit où vous voulez qu’il se retrouve lorsque vous êtes dans le processus d’écriture. A la fin d’une section ou à la fin de votre documents, ouvrez les deux fichiers et copier, coller le paragraphe de référence dans sa place numérotée, puis peaufiner toute l’information nécessaire pour qu’elle soit en lien avec le style de votre écriture.
Microsoft Word vous permet de numéroter automatiquement vos références. Ça veut dire que quand vous déplacer vos références dans votre document, tous les chiffres sont renumérotés automatiquement! Ça vous évite de constamment faire des mises à jour! Vous pouvez utiliser un écran divisé en 2 pour avoir les notes bas de page/fin de document pour vous inspirer et pour un accès rapide! Utilisez le menu Aide dans Word pour plus de détails.
Quand j’ai rédigé ma thèse de doctorat – j’avais des centaines de références – il m’aurait été impossible de les gérer manuellement.
Oh! J’aurais aimé penser à ça quand j’étais au collège. C’est certain que ça n’aurait pas fonctionné parce qu’il n’y avait pas d’ordinateur à l’époque. Tout se faisais manuellement, même pas de dactylo électrique. Je me rappelle que j’utilisais des cartons d’index à peu près de la même manière. Je jetais souvent un coup d’oeil au carton du dessus pour me rappeler où j’étais rendu et pour introduire ma pensée à cette référence et aussi pour me rappeler de ne pas oublier d’insérer la référence dans mon document. Une fois rédigé, je retournais mon carton de référence et le suivant apparaissait clairement visible sur le dessus. Peut-être que si vous imprimez les références, les découpez et les triez de cette manière, les numérotez à ce moment-là, et que vous les empilez à proximité, ça pourrait vous éviter de les chercher à travers les pages de texte de références, surtout quand vous êtes en “mode” écriture.
Comment rédiger une thèse ou un travail de fin de session
Le blogue du jour est basé sur un commentaire très pertinent adressé par Renee…
Je le trouvais suffisamment intéressant et pertinent pour y ajouter des informations et des trucs supplémentaires et de les partager avec vous lorsque viendra le temps pour vous de rédiger votre thèse ou votre travail de fin de session.
Les commentaires de Renée sont en italique…
Votre conseil pour rédiger une thèse est brillant. Vous trouvez un élément d’information que vous savez important pour votre rédaction même si vous n’avez pas encore formulé toute votre démarche et votre approche du sujet. Vous savez que vous devrez ultérieurement introduire cet élément important, l’expliquer et lui donner sa pertinence face à votre sujet, ce qui pour moi est une portion du travail que je déteste faire quand je suis sur une lancée d’écriture. C’est comme un arrêt forcé qui met un frein à mon catharsis et à ma motivation.
L’angoisse de la feuille blanche est le défi le plus difficile à surmonter – en saisissant ces anecdotes, statistiques, faits ou références – ça crée QUELQUE CHOSE sur la page que vous pouvez facilement modifier et embellir. Une page blanche est si angoissante !
Je m’arrête seulement à la fin de chaque section, pour me récompenser, et j’en profite pour penser à comment je vais débuter la prochaine section, ou bien je m’arrête en pleine écriture de quelque chose que j’aime, parce que je continue à composer dans ma tête pour ne pas perdre le fil de mon idée puis je reviens rapidement mettre ça sur papier (ou plutôt à l’ordinateur, disons que cette expression est devenue désuète).
Si je devais arrêter d’écrire en pleine introduction d’un sujet ou en pleine écriture d’un élément de référence, je voudrais éviter d’arrêter et quitter le processus avec un sentiment négatif parce que chaque fois que je reviendrais à l’écriture, je sais que je serais confronté à ce point de départ négatif et à un comportement d’abandon.
Ce problème est commun – ce que je vous suggère vous en débarassera – spécialement si vous lisez la prochaine suggestion ci-dessous sur l’utilisation des “NOTES DE BAS DE PAGE” et “NOTES DE FIN DE DOCUMENT”
J’irais même jusqu’à vous suggérer d’aller à une étape plus loin et de numéroter ces paragraphes de référence déjà écrits, de les sauvegarder dans un fichier séparé et de les imprimer. Gardez-les à côté de vous lorsque vous écrivez et mettez juste le # dans l’endroit où vous voulez qu’il se retrouve lorsque vous êtes dans le processus d’écriture. A la fin d’une section ou à la fin de votre documents, ouvrez les deux fichiers et copier, coller le paragraphe de référence dans sa place numérotée, puis peaufiner toute l’information nécessaire pour qu’elle soit en lien avec le style de votre écriture.
Microsoft Word vous permet de numéroter automatiquement vos références. Ça veut dire que quand vous déplacer vos références dans votre document, tous les chiffres sont renumérotés automatiquement! Ça vous évite de constamment faire des mises à jour! Vous pouvez utiliser un écran divisé en 2 pour avoir les notes bas de page/fin de document pour vous inspirer et pour un accès rapide! Utilisez le menu Aide dans Word pour plus de détails.
Quand j’ai rédigé ma thèse de doctorat – j’avais des centaines de références – il m’aurait été impossible de les gérer manuellement.
Oh! J’aurais aimé penser à ça quand j’étais au collège. C’est certain que ça n’aurait pas fonctionné parce qu’il n’y avait pas d’ordinateur à l’époque. Tout se faisais manuellement, même pas de dactylo électrique. Je me rappelle que j’utilisais des cartons d’index à peu près de la même manière. Je jetais souvent un coup d’oeil au carton du dessus pour me rappeler où j’étais rendu et pour introduire ma pensée à cette référence et aussi pour me rappeler de ne pas oublier d’insérer la référence dans mon document. Une fois rédigé, je retournais mon carton de référence et le suivant apparaissait clairement visible sur le dessus. Peut-être que si vous imprimez les références, les découpez et les triez de cette manière, les numérotez à ce moment-là, et que vous les empilez à proximité, ça pourrait vous éviter de les chercher à travers les pages de texte de références, surtout quand vous êtes en “mode” écriture.